Jack W. Crewley, the tender Darkness

«L’arrivée»

Une naissance plutôt étrange, durant une panne de courant, tout était sombre, tout le monde croyais que c’était une panne de courant, mais maintenant je le sais, ils veillent sur moi depuis mon premier jour, ce ne fut pas facile pour ma mère, même horrible, elle n,avait que 16 ans et elle a finit ses jours a seize ans, qui peut croire ça, mourir si jeune sous le regard de ceux qu’on aime… d’un autre coté ça ne m’arrangeait pas non plus, car dès que je sortis de l’hôpital, mon père m’envoya cher mon oncle, car il ne voulait pas d’un naz comme moi, comme il disait. Mais se qu’il ne savait pas, c’est que cela le mènerait à sa perte…

«L’enfance de glace…»

Déjà jeune, mon oncle me faisait faire toute sorte de trucs, du genre a faire sa bonne a longueur de journée, sans dire qu’il me fait faire c’est foutu exercice d,armé, c’était sûrement la raison du pourquoi il l’avait envoyer dans les griffes de se Romiro Rodriguez Crewley… C’était toute une vie s’écrasant contre le sol. Je passais mes journées autant été qu’hiver en short et en camisole, mais au moins a mes fête d’anniversaire, il me laissait sortir, du moins que je rentre avant minuit. Une de ses nuit j’ai fait la connaissance d’une demoiselle, j’étais encore jeune et elle aussi et c’était la seule personne a l’extérieur des collègues de mon oncle qui avait dédaigné me dire un mot. Elle m’avais découvrir des choses que je ne connaissais pas, dont le sentiment de l’amour, celui qui ma fait tout étrange. Elle m’a aussi fait connaître une autre partit de moi, mais ça, ce n’était pas si attrayant que le premier, non c’était quelque chose d’inhabituel… Comme toujours je rentrais cher moi pour minuit, mais pas seul… Se bon vieux Romiro était contre et avait tenter de lui faire du mal, mais il n’eu le temps, car c’est moi qui reçu le premier coup, cela ne prit pas grand temps que la jeune femme était partit en course. Se fut se soir la qui je mis fin a mes souffrances, grâce a une seule personne de l’extérieur, d’un seul coup tout mes soucis s’envolèrent. Je venais sans trop savoir comment, de tuer mon oncle et deux de ses loyaux sujets, mais bien sur avant de l’achever, j’avais reçu plusieurs coup bien porter. Je quittai rapidement se manoir rejoignant la douce. Je reste quelque mois au près d’elle avant que les ombres prirent complètement possession de mon corps, je dut la quitter de façon rude et je ne voulais plus la revoir, elle m’avait donné la haine et la rage au ventre… J’avais disparu sans laisser de trace laissant un second meurtre derrière moi, cette fois, je changeai et pour de bon… je devins des plus étrangement sérieux et silencieux. Je fut envoyer dans un centre de correction, mais tout le monde avait peur de moi, se qui se trouvait être des plus normale.

«Tente un nouveau départ»

Croyez vous en se que je puisse quitter enfin cette enfer? Pas moi, je suis sur que se n’est qu’un rêve une illusion, ou même que l’on m’envoie à l’asile. Une école différente des autres?! Totalement impossible, rien ne peux me garder enfermer plus d’une journée. Jamais mon père, ni mon oncle a réussit alors comment une asile ou une école pourrait le faire? Cela reste toujours a voir, mais vaux mieux les laisser essayer que de rester a rien faire cloîtré dans le bois. Valise faites, non jamais, faut mieux laisser le passer derrière moi, c’est un nouveau départ, complètement différent. Oublier tout, mais cette famille morte…C’est un départ qui débutera dès le pieds mit en dehors du bus me trouvant face à l’école dites Sharpest…

(environ 20 lignes)

Pour commencer je dois vous prévenir que j’ai des vices cacher, des coté plus sombre que d’autre que je n’ai peur de rien. Je pourrais affronté mon pire cauchemar sans aucun mauvais présage. Mon coté le plus tendre, celui que je tente de cacher, celui que je cache… Pourquoi, car je ne veux pas que quelqu’un s’attache a moi, pour devoir lui briser le cœur et laisser cette personne seule sans défense. Je ne veux pas m’attacher a quelqu’un, car en plus de la blesser, je ne pourrais plus vivre sans elle. C’est en ses raisons que je refuse de démontré mon coté romantique, poète, protecteur et attentionné. J’en ai peur… Le coté le plus sombre, je le redoute, je n’en ai pas peur, mais je refuse de trop le démontré, je ne veux pas qu’on m’aime c’est vrai, mais ce n’est pas une raison d’être méchant, je ne veux pas être détester. C’est pour ça que j’aime mieux cacher mon coté bagarreur, agressif, arrogant et même sadique a quelque reprise. Voulant cacher ses deux coté, j’ai dut me fabriquer une coquille par-dessus, ce coté de moi m’est complètement étranger, je me sent mal derrière cette carapace, mais je doit faire avec ceci pour ne blesser personne… Alors c’est grâce a cela que je réussis a garder mes distance avec tous ceux qui m’entour. Je suis distant et discret, se qu’il explique que je ne prend rarement, très rarement contact avec les autres.
(environ 10 lignes)